
Au moment où vous quittez l’Opéra de Paris, auquel vous avez consacré toute votre activité artistique pendant tant d’années pour le plus grand renom de notre Ballet National, je tiens à vous redire mon admiration pour votre grand talent et à vous exprimer mes remerciements pour la part personnelle que vous avez prise au rayonnement culturel de la France à l’étranger.
Serge Lifar, Les mémoires d’Icare, 1989